Fin des phases régionales des consultations pour la relecture de la charte des partis politiques : De fortes recommandations attendues pour enrichir les réformes politiques

La gouverneure de Dioïla, Aminata Coulibaly

Les rideaux sont tombés ce jeudi sur les phases régionales des consultations des forces vives de la Nation pour la relecture de la charte des partis politiques notamment dans les régions de Dioila et Ségou. L’objectif principal de ces consultations est de recueillir les avis et recommandations des forces vives de la région, afin d’enrichir la réforme politique. Elles se dérouleront sur deux jours, soit du 16 au 17 avril 2025.

Dans le cadre du processus de relecture de la loi n°05-047 du 18 août 2005 portant charte des partis politiques au Mali, les journées de consultations des forces vives de la région de Dioïla ont débuté le mercredi 16 avril 2025 sous la haute présidence de Mme COULIBALY Mariam COULIBALY, Gouverneur de Dioïla.

A Ségou, c’est le Commissaire Général de Police Soulaïmane Traoré qui a présidé le même jour la cérémonie d'ouverture des travaux de la concertation des forces vives de Ségou dans le cadre du processus de relecture de la Charte des partis politiques en présence du Maire de la Commune Urbaine de Ségou, dans la salle de conférence du gouvernorat de Ségou.

A Dioila, le maire a renouvelé le soutien de son conseil communal aux plus hautes autorités du Mali à la tête, le Chef de l'Etat, Président de la Transition, le Général d'Armée Assimi Goïta pour l’organisation des concertations des forces vives.

Le chef de l'exécutif régional, pour sa part, s’est dit honoré de présider cette rencontre de relecture de la Charte des Partis Politiques tout en souhaitant la chaleureuse bienvenue aux participants, à la suite du Maire.

Il a ensuite salué et remercié les plus hautes autorités pour cette excellente initiative pouvant permettre aux maliens de contribuer à la mise en œuvre des recommandations des Assises Nationales.

A Ségou, la cérémonie s'est déroulée en présence des membres de cabinet du gouverneur, des préfets des cercles de la région de Ségou, du président du conseil régional de Ségou, des autorités politiques, des directeurs des services déconcentrés de l'état, des forces de défense et de sécurité, des autorités traditionnelles, coutumières et des leaders des confessions religieuses, les associations et organisations socio-professionnelles, la CAFO, la jeunesse, la presse et bien d'autres.

Par Adama DAO (Le Tjikan)